M’obliger à te
quitter, à te haïr ;
Me tromper, me
remplacer, me détruire, me torturer,
Voila,
tu l’as fait.
Tes plaies
existent encore, tes blessures profondes m’irritent le corps ,
Tes doutes, tes
trahisons, sonnent en chœur dans mon cœur,
Vingt six
ans de paix, des années de joies des mois de bonheurs ;
Vite,
tu les as remplacés que par douleurs.
Voila !
Je t’ai quitté et après ?
Tu as trouvé
ce que tu cherchais ? Ta haine a commencé à germer ?
Ou
peut être s’est – elle stabilisée. ?
Comment
oublié ?
J’été
fidèle, tu m ‘ a trahi, J’été confiante, tu m’as puni.
Je t’ai semé
sous les pieds ; roses, azalées et cyclamen,
Tu m’as
planté écorces, épée et chagrin.
Voila,
tu m’as quitté
Tes châteaux
de sables sont écroulés ; tes rêves de fées ne sont plus
réalité,
Le
soleil du jour les a brûlé.
Tes
promesses crient la détresse, tes caprices sont factices.
Aujourd‘hui
Ce
n’est pas de la méchanceté que je te promets, ni de la haine que je te
porterai …
Seulement,
je te souhaite trouver , ce que je t’avais espéré …
Bonheur,
respect et fidélité.
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